NOTES
« Le bon [Homère] dort parfois. » Hugo ne cite que partiellement, car il s'adresse à des gens cultivés, la formule proverbiale d'Horace (Art poétique ou Epitre aux Pisons, v. 285-287): « Ainsi l'auteur qui est toujours en défaut est pour moi ce Chérile dont j'admire en riant deux ou trois passages; tandis que je souffre quand le divin Homère vient à s'endormir. »(Oeuvres d'Horace, traduction nouvelle par F. Collet, Paris, Lefèvre, 1845; cette édition se trouvait à Hauteville House, mais entre d'autres.)